Les 3 Vallées
Une conclusion
De mon voyage à «les 3
Vallées» je retourne d'une certaine façon un peu
déçu parce que la tempête de neige m'a
obligé de finir mes mesures des longueurs des pistes le
sixième jour. Cinq jours ne suffisent pas tout à fait
pour ce domaine skiable gigantesque, laquelle la plupart des skieurs
classe encore avant le domaine «Paradiski». Le fait que je
puisse accompagner une jeune femme au Menuires à fin d'y venir
chercher un objet trouvé me donne encore une journée de
ski jusqu'à 14 heures. Il est vrai que nous devons prendre le
bus pour retourner, mais à Val Thorens les
téléskis ne marchent plus depuis quelques temps. Il n'est
pas toujours un avantage d'habiter aussi haut.
Ce qui me rend content, c'est la certitude d'être arrivé après ces cinq jours de ski à plus de 300 km et plus de 60000 mètres de dénivelle parcourus. Mais il faut dire que je m'étais parfaitement préparé par mon séjour d'une semaine à «St. Anton», seul peu de temps avant. Et de plus, par l'optimisation de l'emplacement du récepteur du GPS sur l'épaule, j'ai mieux pu éviter le grand problème des fautes de mesures.
Ceux qui pensent maintenant que c'était la science seule qui a profité de ce voyage font erreur. Ce n'était pas seulement cela qui m'a fait très plaisir, mais en plus tout qui s'est passé avant ou après mes traversées solitaires des domaines de «Courchevel», «Méribel» et «Belleville» de mon deuxième voyage. Les soirées avec du vin chaud qui ne finissaient pas grâce à la politique d'achats sans compter et l'organisation sans faute du voyage par le responsable du club de ski de Bingen, la relation amicale entre les deux clubs de Bingen et d'Untertaunus et l'atmosphère sympathique dans notre «campement» pour laquelle je veux ici remercier «Wolf» et «Bernhard». C'est seulement grâce à leur compréhension pour mon «cirque de mesures par GPS» qu'il m'a été possible de traiter ces donnés si vite dans notre petit domicile. De plus, ils m'ont nourri à merveille car les «scientifiques» s'alimentent normalement seulement de pizzas froides et de cola gluant. Même si je préférais les logements à «Méribel Mottaret», nous trouverons à Val Thorens le domaine avec la meilleure qualité de neige parmi les 3 Vallées. Il éclaire tout le massif du mont «Peclet» la nuit, malgré les protocoles de Kyoto et des centaines de discussions par rapport à la poussière fine.
Ce qui me rend content, c'est la certitude d'être arrivé après ces cinq jours de ski à plus de 300 km et plus de 60000 mètres de dénivelle parcourus. Mais il faut dire que je m'étais parfaitement préparé par mon séjour d'une semaine à «St. Anton», seul peu de temps avant. Et de plus, par l'optimisation de l'emplacement du récepteur du GPS sur l'épaule, j'ai mieux pu éviter le grand problème des fautes de mesures.
Ceux qui pensent maintenant que c'était la science seule qui a profité de ce voyage font erreur. Ce n'était pas seulement cela qui m'a fait très plaisir, mais en plus tout qui s'est passé avant ou après mes traversées solitaires des domaines de «Courchevel», «Méribel» et «Belleville» de mon deuxième voyage. Les soirées avec du vin chaud qui ne finissaient pas grâce à la politique d'achats sans compter et l'organisation sans faute du voyage par le responsable du club de ski de Bingen, la relation amicale entre les deux clubs de Bingen et d'Untertaunus et l'atmosphère sympathique dans notre «campement» pour laquelle je veux ici remercier «Wolf» et «Bernhard». C'est seulement grâce à leur compréhension pour mon «cirque de mesures par GPS» qu'il m'a été possible de traiter ces donnés si vite dans notre petit domicile. De plus, ils m'ont nourri à merveille car les «scientifiques» s'alimentent normalement seulement de pizzas froides et de cola gluant. Même si je préférais les logements à «Méribel Mottaret», nous trouverons à Val Thorens le domaine avec la meilleure qualité de neige parmi les 3 Vallées. Il éclaire tout le massif du mont «Peclet» la nuit, malgré les protocoles de Kyoto et des centaines de discussions par rapport à la poussière fine.